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20 janvier 2010

Commentaires

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Si seulement une de ces boîtes pouvait abriter et protéger les vingt-un grammes que pèse, dit-on, l'âme des hommes...

Merci, chère Myriam, pour la présentation de ce tableau, à laquelle je ne vois pas grand chose à ajouter, tant elle me semble complète. Le français nomme très mal ce type de tableau, qu'il appelle "nature morte", quand, la plupart du temps, il y règne seulement une "vie silencieuse", comme le disent plus justement l'allemand ou l'anglais. Si le crâne nous rappelle que toute chose est vouée à la destruction, le fait d'immortaliser ainsi les objets, mais aussi, ailleurs, les plantes ou les fruits, n'est-il pas une façon de leur assurer une certaine pérennité, en dépit du support fragile de la toile ou du panneau de bois ? Fascinante mise en abîme dans laquelle vie et mort se livrent un inlassable combat.
Bien amicalement.

...en guise de sépulture et en quête d'éternité...

Merci cher Jean-Christophe n'est-ce pas finalement le cas de toute œuvre d'art qui vise à l'immortalité, même si le genre "nature morte" est la révélation la plus probante de la "fascinante mise en abîme dans laquelle vie et mort se livrent un inlassable combat" comme vous le faites si justement remarquer.
Bien amicalement.

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Damien Guinet
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